Voilà un tiers de l’année c’est déjà écoulé…
Je vous propose donc un récapitulatif de mes cinq meilleurs lectures de ce début d’année 2013.
Rendez-vous en août pour mes prochains coups de coeur
Janvier : "Sorry" de Zoran Drvenkar
Attention chef d’œuvre !!!!!! Voilà j’ai capté votre attention ? Il le faut parce que là je vais vous parler de Sorry le premier livre de Zoran Drvenkar. Et croyez-moi il mérite amplement que l’on s’use un peu les yeux dessus.
Fevrier : « Betty » d’Arnaldur Idridason
« Betty » est un roman que je n’ai pas vu venir. J’ai jeté mon dévolu sur ce livre un peu par hasard. Un prénom comme titre de livre j’aime assez, il y a aussi le fait que son auteur soit islandais. J’ai toujours aimé la sensibilité glaciale qui se dégage de l’œuvre des artistes de ce pays (je pense à Sigur Ros et Bjork pour la musique). La quatrième de couverture est également très bien faite et donne envie d’en savoir plus.
Mars : « Derrière la haine » de Barbara Abel
Il y a des livres qui vous parlent, qui raisonnent en vous comme un écho qui fait vibrer votre être. C’est ce qui m’est arrivé à la lecture du dernier thriller de Barbara Abel. Les thèmes abordés (l’amitié et l’importance qu’un enfant représente pour ses parents) n’y sont pas étrangers.
« The Hunter » de Christelle Mercier
Il est important de commencer cette chronique par un avertissement….enfin deux plutôt. Premièrement si vous avez un petit cœur ou si vous avez des difficultés à surmonter la lecture de passages violents (que ça soit physique ou psychologique) passez votre tour car « The Hunter » est très mais alors très gratiné. Deuxièmement prévoyez un créneau assez large car une fois commencé vous ne pourrez le poser qu’une fois la dernière page tournée.
Avril : « sa vie dans les yeux d’une poupée » d’Ingrid Desjours
Le premier contact avec « Sa vie dans les yeux d’une poupée » est d’abord visuel. D’abord Magnifique couverture. Le message est clair : même l’objet le plus innocent peut se révéler inquiétant une fois vu sous un certain angle. Ensuite le bandeau tapageur où l’on nous dit qu’Ingrid Desjours est « Notre nouvelle reine du thriller ». Cet argument publicitaire est accompagné d’une photo de l’auteur : pose ingénue et sourire innocent, pourtant on peut lire dans ses yeux un : « Tu ne vas pas être déçu du voyage » un brin machiavélique.